Berk, berk, quel souvenir, quel est celui qui ne se souvient pas de cette époque de notre enfance où nous avions droit tous les jours à une cuillerée d'huile de foie de morue. Toutes les mères couraient alors derrière leurs jeunes enfants pour leur faire ingurgiter cette huile horrible , d'un goût hyper particulier. "c'est un fortifiant ,il faut absolument le boire, comment vas tu grandir alors?", que de fois nous avions entendu cela.
Bien connue l'huile de foie de morue, riche en vitamines Aet D, était jadis couramment administrée comme fortifiant pour favoriser la croissance des enfants.
Cette huile prévient aussi les maladies de peau, les troubles de la vision et le rachitisme, elle joue un rôle important dans l'absorbtion du calcium.
Mais quel goût atroce dans la gorge, nous avons tous eu droit à cette étape pour grandir disait-on. On se rend compte aujourd'hui que cette huile nous a tout de même aidés à éviter certaines maladies et à grandir sans problèmes majeurs.Depuis et fort heureusement, son emploi est réduit presque totalement en raison des polluants mais ausssi de substituts.
Les huiles de maquereau, de saumon, de hareng, de thon et d'autres poissons gras des mers froides ont un effet positif sur le métabolisme des lipides. Elles font baisser le taux de tryglicérides dans le sang, augmentent la teneur en HDL"le bon cholestérol", en améliorant la fluidité du sang.
Les acides gras poly-insaturés oméga-3 réduisent la tendance à former des caillots et empêchent les dépôts de cholestérol sur les artères.
D'autres poissons fournissent des huiles précieuses pour la santé.
Essentiellement utilisées à des fins pharmaceutiques, elles entrent dans la composition de crèmes et d'onguents mais souvent commercialisées sous forme de capsules d'huile pure.
Les scientifiques ont établi récemment un lien direct entre le faible nombre d'infarctus cheaz les esquimaux et leur alimentation riche en poisson gras. Les huiles de poisson se caractérisent par leur teneur élevée en acides gras poly-insaturés oméga3. Elles améliorent le bilan lipidique et contribuent effectivement à prévenir les maladies cardiovasculaires.
Il est recommandé pour diminuer le risque d'infarctus , à titre préventif, de privilégier les graisses végétales, mais aussi de manger du poisson au moins deux à trois fois par semaine.
Si l'on aime pas le poisson, on peut avoir recours aux capsules d'huile de poisson en complément alimentaire.
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