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mardi 3 janvier 2012

TAJINE DE VEAU A L'ORANGE ET ARTICHAUTS

Ingrédients:
650 grammes de viande de veau
8 fonds d'artichauts
3 oranges
3oignons
2 gousses d'ail
Une cuillerée à soupe de miel
Trois cuillerées à soupe d'huile,
Une cuillère à café de cannelle en poudre
Un poignée de persil haché
Une poignée d'amandes effilées
Du sel
Du poivre

Préparation:
Préparer la viande après l'avoir lavée, , la découper en cubes. Poivrer. Dans un faitout faire revenir la viande dans l'huile d'olives.
Peler les oranges , les découper en tranches .
Nettoyer les oignons et l'ail et les émincer. faire revenir ces légumes et rajouter la viande dessus, mélanger et poursuivre en rajoutant les épices.
Dans un Tajine qui va au four, mettre la viande, les oignons, rajouter les tranches d'orange à la surface, saupoudrer de persil. Mélanger le tout.
Dans le four chauffé à 180°, thermostat 5, mettre le tajine dans lequel vous avez rajouté les fonds d'artichauts, nappés de miel. Le couvrir et laisser cuire pendant pratiquement une heure trente.
Vous pouvez accompagner le plat par de la graine de couscous cuite , arrosée d'huile d'olives et saupoudrée de cannelle.

dimanche 5 octobre 2008

POUR YOM KIPPOUR

N'oublions pas : derniers préparatifs, Après avoir fini de faire les confitures de grenades et de coings, Il nous reste à préparer le "boulou", ces fameux pains sucrés aux amandes, les coings aux clous de girofle, la baranya du soir de sortie de yom kippour avec la poule farcie, le bouillon avec les nouilles. Tout ça dans la tradition tunisienne!
Pour la veille à préparer le couscous au poule, avec petites boulettes sans pommes de terre , le rôti de poulet pour le midi, les foies grillés que tout le monde doit goûter.
Penser à la citronnade avec de l'eau de fleurs d'oranger pour la sortie du Yom Kippour, ne pas oublier d'acheter la boutargue qui sera dégustée avec une goutte de boukha bokobza.
Préparer les taleths, les kippots (kippas), enlever les téfilines, les mettre de côté pour cette fête.
Préparer un repas froid pour les petits(ils ne jeunent pas!).
J'espère n'avoir rien oublié.
Si, vous souhaitez un Bon Yom Kippour, une excellente fête à tous.
HAG SAMEAH LE KOULAM
KETIVA OU HATIMA TOVA

dimanche 6 juillet 2008

BOULETTES DE POISSON

Voici l'été, les chaleurs, le couscous surtout sur la côte,Nabeul, Sousse se fait au poisson "le fameux Pagre :le "Géralli", gros poisson blanc ressemblant à une daurade, mais au goût unique, il fond délicieusement dans la bouche.
Quand nous étions jeunes ,à Nabeul, il ne se passait pas de repas, sans une friture de géralli, chaude, parfumée, dont nous nous régalions car notre mère nous la préparait avec amour.
Aujourd'hui même si nous faisons une friture avec un poisson fraichement pêché, il n'a plus le même parfum, plus le même goût que celui de maman Alice....

Le couscous au poisson se prépare avec la tête du Géralli (pleine de chair); les vrais amateurs de poisson gobent avec délice les yeux, sucent tous les morceaux et ne laissent presque rien.

Pour accompagner le couscous au poisson on confectionne des boulettes avec la chair de poisssons comme, la limande, le merlan en filets.

Ingrédients

1kg de filets de poisson
Du pain rassis
Un bouquet de persil arabe
Un demi bouquet de coriandre
Deux oignons
Une bonne poignée de menthe séchée
Une gousse d'ail
Trois oeufs
Une pincée de curcuma
Une pincée de poivre
Une pincée de sel
Une cuillère d'harissa
De la farine
de l'huile pour friture.

Faire tremper le pain dans un saladier plein d'eau.
Nettoyer les oignons, les râper, les saler, mettre de côté
Nettoyer l'ail, l'écraser
Laver le persil et la coriandre, les découper finement, sécher, saler, réserver
Mettre le poisson dans un robot et le hacher
Dans une terrine, mettre le poisson haché, le pain, essoré, l'ail, le persil, coriandre et oignons lavés et essorés et la menthe séchée.
Ajouter le sel, le poivre, le curcuma, l'harissa, un oeuf entier. Mélanger, malaxer pour bien faire pénétrer tous les ingrédients.
Préparer un plat contenant de la farine, un autre contenant les deux oeufs battus.
Mettre à chauffer l'huile dans une poêle profonde.
Former des boulettes de la grosseur d'une petite mandarine, les passer dans la farine, ensuite dans l'oeuf et les mettre à frire (dés que l'huile chauffe, réduire le feu), des deux côtés.
Prendre les boulettes dorées, les poser sur un plat contenant du papier absorbant.

Présenter les boulettes telles que ou alors faites les cuire dans une sauce tomate .

jeudi 29 mai 2008

COUSCOUS CARWIA(CARVI)

Graines de couscous au carvi

Ce plat était réservé souvent aux soirées d’hiver le samedi soir.
Composé avec un reste de graines de couscous.
On passait de l’utile à l’agréable.
Ingrédients :

De la graine de couscous (250 G pour 4 personnes)

Des gousses d’ail

Une cuillerée de concentré de tomates

Deux bonnes cuillerées de carwia fraichement moulue

Une bonne cuillère d’harissa

Une pincée de felfel jeina (paprika doux)

Une bonne pincée de poudre de menthe séchée

De l’huile d’olive

Une pincée de sel
Dans une grande poêle creuse, mettre de l’huile d’olive et l’ail que l’on aura auparavant pelé et écrasé, à feu doux faire légèrement revenir, rajouter le sel, le paprika ainsi que le concentré de tomate et d’harissa qui aura été délayé dans de l’eau, remuer lisser cuire légèrement en rajoutant un peu d’eau si nécessaire. Mettre la graine de couscous, bien mélanger à la sauce, saupoudrer de carwia et de la menthe et faire revenir. Parfois le fond prend un peu et le goût fumé , c’est très bon (dans nos souvenirs !).

dimanche 4 mai 2008

le couscous de mon amie Rafika

Pour le lendemain du mariage d'Ahmed et de Médiha, mes amies, Rafika, Anissa et Fatma roulent le couscous en sourient à la vie des futurs époux

mardi 29 janvier 2008

BKAÏLA, PKAILA, T’FINA, DAFINA, MEDFOUNA


Le rituel juif tunisien pour le repas de shabbat midi est une T’Fina.
Cette appellation désigne un plat mijoté longuement à l’étouffée et qui peut représenter différentes recettes : la Bkaïla, l’harissa de blé, le ragoût haricots rouges Dafina , le nikitouche, aux œufs, etc…
Ces différents plats sont généralement servis avec une assiette de graines de couscous. A présent, on fait mijoter ces compositions sur des plaques électriques , afin de respecter le shabbat et garder au chaud le repas.
La BKAÏLA, la fameuse bkaïla est réservée aux jours de fête et pour les cérémonies et réceptions à la « tune ».
Préparation : 40 minutes
Friture et cuisson : 4 heures
Ingrédients :
Un kilo et demi d’épinards frais
300 grammes de Haricots blancs secs
Un kilo de macreuse ,joue et/ou paleron, jarret
Un pied de bœuf coupé en rondelles
Un peu de Jelda, peau, si possible
Une Osbana (boyau) si possible
2 oignons
Une gousse d’ail
Un verre et demi d’huile
Un bâton de cannelle
Deux cuillères de menthe séchée moulue
Une cuillèrée d’harissa maison
Un piment rouge sec
Du sel
Du poivre
Prendre les épinards, les équeuter, les laver à grande eau, ensuite les laisser égoutter dans une passoire. Découper en lamelles les épinards.
Dans un poêle creuse, mettre de l’huile, l’ oignon découpé. Faire revenir, ensuite rajouter les épinards et laisser prendre à feu vif. Dés que l’eau s’évapore, remettre à feu moyen et sans cesser de remuer le tout à la cuillère de bois ,faire revenir.
Quand les épinards semblent confits, de couleur presque noirâtre, (mais pas brûlés), retirer les du feu.
Dans la cocotte minute mettre un oignon coupé, l’ail écrasé, faire légèrement revenir, rajouter les épinards rissolés, la viande préalablement cachérisé, le pied découpé, la jelda, et les haricots secs lavés (on peut aussi pour accélérer la cuisson les faire tremper la veille), le petit morceau de bâton de cannelle, remuer le tout, mouiller d’environ un litre et demi d’eau, laisser cuire un bon moment à feu moyen.
Si la viande paraît cuite on peut la retirer et la mettre de côté. On ajoute la menthe séchée, on sale et on poivre , on pose sur la surface la « osbana » et l’on surveille la cuisson.
La Bkaïla est cuite quand l’huile verdâtre/ noirâtre remonte à la surface et que les haricots sont à point. Le contenu est onctueux compacte.
On sert la bkaïla dans un grand plat, autour on place la viande, le pied ,la jelda en alternant, on met au centre la osbana (un long boyau farçi que l'on découpera ensuite en rondelles). On peut aussi pour le shabbat, mettre des œufs à cuire en même temps que la osbana, ils prennent une couleur brunâtre. On en décore le plat, cuits ainsi ils sont plus digestes.
On accompagne ce plat d’une grande assiette de graines de semoule cuite à la vapeur.
Les convives se servent, chacun selon son appétit et ses goûts .
Délicieuse, La Bkaïla est un plat qui demeure la particularité de la cuisine juive tunisienne, certains français appelle cette composition : le couscous vert, car le noir des épinards devient verdâtre à la cuisson.
Les musulmans de Tunisie ont adopté la recette et servent ce plat pour les dîners et réceptions entre amis, aujourd’hui, la « Madfouna » appelée ainsi en Tunisie est rentrée dans les traditions tunisiennes .
Dans les différents commerces judéo tunisiens, on vend maintenant des pots de la préparation confite de la Bkaïla. Ceci accélère le temps de préparation .
Préservons nos traditions, transmettons nos recettes de mère en fille et belle fille, amis et amateurs de Bkaïla.



jeudi 10 janvier 2008

ORIGINE ET COMPOSITION DE CERTAINS PLATS


La minina

Célèbre omelette géante, sorte de soufflé réalisé à base d’œufs, d’une cervelle de bœuf, de poulet. Cette spécialité orne les tables de fêtes. C’est le plat qui est servi le soir de POURIM avec la poule farcie.

Le couscous de shabbat

Plat rituel du vendredi soir que confectionnent les mères juives du Maghreb, mais surtout les tunisiennes. Pour accueillir le shabbat toutes les familles tunisiennes se réunissent autour du couscous, boulettes.
D’origine arabe, ce plat est confectionné par les mères juives avec une variante, on utilise uniquement la viande de bœuf et on sert la semoule cuite d’un côté, le bouillon, les légumes , la viande d’autre part. Par ailleurs il est accompagné de boulettes spéciales.

la bkaïla

Appelée aussi Dafina ou couscous vert, ce plat très original est confectionné à base d’épinards revenus dans l’huile, de viande de boeuf et pied, de menthe séchée, d’épices diverses ,d’harissa et d ‘haricots secs.
Sa couleur verte celle de l’espérance fait qu’il est préparé pour les soirs de fête et de célébration d’évènements (bar mitzva, henné, brit mila). Mijoté à l’étouffée, il cuit longtemps surtout quand il est préparé pour le shabbat midi. La bourgeoisie musulmane tunisienne a emprunté ce délicieux plat et le sert à l’occasion de festivités.

la meloukhia

Préparé avec pour base les feuilles séchées et moulues d’une plante appelée corète(tétragone) importée d’Australie par les égyptiens , ce plat, une fois cuisiné avec de la viande de bœuf et parfois selon les régions de tripes et merguez, est de couleur noirâtre, sorte de crème onctueuse que l’on mange avec du pain. On dit que » c’est le plat qui ne finit jamais ».Sa couleur initiale verte présage de bon augure fait de cette recette le plat réservé aux fêtes autant pour la communauté musulmane que pour les juifs de certaines régions (au nouvel an).




Les variantes du couscous

La graine de couscous peut être accompagnée de viande de bœuf, d’agneau, de poulet, de poisson, de merguez, de grillades selon les goûts, la saison où la région où il est consommé.

Les briks

Les briks aux pommes de terre typiquement connues en Tunisie, consommées en entrée chaude sont conçues à base de feuilles (philo) composées de farine et d’ eau. La pâte pliée en carré est farcie au centre avec de la pomme de terre en purée, de la viande, des oignons, du persil, de la coriandre et des œufs, on peut y ajouter des câpres et remplacer la viande par du thon. Pliée pour former un triangle, elle est frite ensuite. Savoureuse, la brik est souvent présentée lors des réceptions et fêtes.

L’akoud

Plat principalement cuisiné pour le shabbat, il était consommé lors de l’apéritif. Une sauce de couleur rouge à base de curcuma, piment moulu rouge, cannelle, poivre noir et harissa, dans laquelle mijotent des tripes, et des morceaux gélatineux. Le tout arrosé d’une rasade de citron.
Ce mets très prisé à présent par tous les tunisiens fait le régal des amateurs de cuisine raffinée.

LA CUISINE JUIVE TUNISIENNE

La Boukha , cette boisson alcoolisée a régalé plus d'un palais. Aucun ou presque, juif tunisien, ne peut concevoir un bon repas, un diner de gala, une fête, bar Mitzva, Brit mila, hénné... sans dégustation de ce merveilleux élixir (pour ceux qui en raffolent), la boukha tunisienne, la plus célèbre a le nom de son fondateur: Bokobza, en arabe "bou khobzè". eau de vie de figues distillée et vendue tant en Tunisie que dans le monde, elle porte le label cacher !
Il est légitime que nous démarrions notre rubrique gastronomique en mettant en exergue , le produit le plus populairement consommé.

LA GASTRONOMIE LA PLUS PRISEE PAR LES CONNAISSEURS

La cuisine Tunisienne est considérée par les gastronomes comme l’une des plus fines d’Afrique du Nord.
Le brassage des 3000 ans de civilisations et les nombreuses communautés (musulmanes, juives et chrétiennes) qui ont cohabité harmonieusement en Tunisie, les divers occupants (français, turcs, italiens, espagnols, maltais, siciliens, russes blancs, grecs) ont agrémenté, avec l’apport des différentes recettes, cette cuisine typiquement tunisienne, de nombreuses spécialités à dominance orientale.


La dénomination des mets, la façon de les préparer et le nombre considérable d’épices et d’herbes utilisées pour aromatiser, colorer et rendre succulents les plats de viande, poisson et légumes donnent une particularité à cette cuisine fort prisée et renommée.La cuisine juive tunisienne est proche de la cuisine musulmane pour des raisons de climat et de coutumes religieuses à quelques variantes près. Certains plats différent et quelques mélanges sont interdits. La viande de porc est interdite à la consommation pour les deux communautés. .La viande utilisée est une viande cacher (immolée rituellement), on ne mélange pas la viande et les laitages par mesure d’hygiène, pas de mélange non plus viande et poisson, pas de consommations de fruits de mer ni de crustacés, pas de consommation de viande de lapin. La cuisine judéo tunisienne, bien que singulière est une belle et généreuse expression de ce doux métissage..

Les animaux qui n’ont pas de sabots fourchus sont interdits de consommation. Les poissons sans écailles ne sont pas autorisés. Il existe un grand nombre d’interdictions qui sont répertoriées dans les documents édités par le consistoire israélite.

Cette cuisine largement répandue avec de petites différences régionales était transmise oralement, de mère en fille. Car les livres de recettes n’existaient pas et personne ne pensait consigner par écrit ces précieuses recettes. Les filles et les brues observaient leurs mères et belles mères avant de s’initier elles mêmes.


Depuis ces dernières années l’on voit apparaître des livres de recettes générales sans distinction de coutumes ou régions.

D’où un nombre considérable de plats fondés sur des principes traditionnels, religieux, rituels et règles d’hygiène, mijotés longuement sur la braise d’un canoune (récipient en terre cuite) ; comme dans toute la cuisine méditerranéenne, c’est une cuisine aux préparations et aux cuissons longues concoctée avec amour par les mamans juives qui passent la majorité de leurs journées à réaliser une table alléchante et succulente.


La tradition veut que tout soit focalisé sur la table, il y a toujours un couvert de plus pour un visiteur inopiné qui est invité sans protocole.

Toute mère juive consacrait une grande partie de son temps à la cuisine, elle privilégie la nourriture à toute autre chose, il faut que ses enfants mangent pour grandir et paraître en bonne santé.

Il existe aussi des plats et pâtisseries spécifiques à toutes les occasions, les fêtes de hannoukah et leurs beignets, Roch Achana et les fruits au miel, pessah et les ragoûts de mouton, chavouoth et les omelettes différentes, pourim et les Mininas, souccoth et la Bkaïla etc… et puis les circoncisions, les mariages, les bar et bat mitzvots….

De nos jours tant en France, que dans d’autres pays, même en Israël la tradition de la cuisine juive tunisienne s’est perpétrée et la mémoire retransmise est préservée par un nombre important de familles originaires de cette contrée de sérénité.

La tradition a pris le pas sur la religion car la plupart des familles attachées à leur racines et pas réellement aux rites de la religion conçoivent les différentes fêtes autour du plat traditionnel réalisé par leur mère pour cette occasion et respectent ce qu’ils ont savouré du temps de leurs parents sans tenir compte des interdits d’autres communautés.



Pour la fête de Pessah, par exemple compte tenu d’une vieille anecdote racontée (une année dans les temps en Tunisie en pleine fête de pessah, une épidémie de diarrhée s’est installée et commença à décimer les enfants, alors le grand rabbin autorisa les familles, pendant cette fête, à consommer du riz cuit.
Depuis cette date, seuls les juifs de Tunisie et aucune autre communauté juive, consomment du riz pendant les huit jours de pessah. tous les autres juifs du monde se le voient interdit.

Autre particularité de la cuisine juive tunisienne : une multitude de salades, hors d’oeuvres, que l’on appelle Kémia et qui sont des entrées délicieuses et copieuses.

Les tables sont décorées de nombreux petits plats :
torchi de navets, fèves au cumin ,tranches de minina, pistaches, amandes,petites fritures, boulettes miniatures, noisettes grillées, olives, salade de pommes de terre, mezaoura de carottes, ajloug de courgettes, slata méchouia,thon en miettes, boutargue,variantes, salade de fenouils, salade d’artichauts et le fameux plat du chabbath appelé Akod à base de tripes , foie etc.…, ces petits plats sont dégustés en apéritif accompagnés de la liqueur « eau de vie de figues appelée boukha », à déguster avec parcimonie….