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samedi 13 février 2010

BOUSSADIA


Griot ou saltimbanque, Le boussadia dansait dans les rues des villes de Tunisie, proche d’un certain folklore tunisien. Tous les tunisiens de notre époque se souviennent de celui qui nous faisait peur en dansant et faisant cliqueter tous les objets en ferraille suspendus à ses vêtements. Boussadia a presque disparu, on en voit encore à Djerba. La tradition veut que les conteurs continuent à travers leurs récits à évoquer ce personnage, ressemblant à un sorcier africain. En général, ce sont des hommes de couleur, certains très bruns se maquillaient le visage au charbon.

On raconte aussi dit que c’étaient des immigrés du soudan, réprimés par l’islam conquérant et qui ont choisi de s’exprimer au travers de leurs danses en déployant toute leur détresse.

Généralement sans domicile fixe et vivant d'une sorte de mendicité déguisée, il parcourait naguère les routes du pays en passant de villes en villages.

Ce type de nomade , à la personnalité particulière déambulait en amusant par son côté ridicule.[1] Amusant les adultes et terrorisant les enfants, il participait à l'animation des rues et des marchés[2] en effectuant sa représentation seul au milieu de la foule rassemblée sur une place publique ou au milieu d'un souk[1].

Il portait des haillons, un semblant de robe faite de mille et une lanières de couleur voulant faire montre d’une peau d’animal,sur une sorte de pantalon léger, un masque de cuir et un haut bonnet de forme conique.

Accompagné par ses castagnettes en fer ou en cuivre et parfois un tambourineur, il agitait le tout en tournant (comme les derviches) et en pratiquant une danse drôle, posant un pied après l’autre.

La légende populaire djerbienne raconte que ce personnage représentait un père dont la fillette prénommée Saadia a été enlevée et vendue comme esclave. Il se déguisait, se masquait et aller de village en village divertir les enfants dans l'espoir de retrouver sa fille parmi les enfants attirés par son spectacle.

Cette affection qu’il portait aux enfants, les effrayait quand il s’en approchait ,ses yeux ressortaient du masque en brillant tellement qu’ils étaient terrorisés.

On dit bien sur et c’est ce qui faisait peur aux enfants qu’il recherchait les filles qui avaient un point rouge ou marron dans l’œil alors c’était la terreur qui régnait toutes les fillettes se regardaient les yeux dans la glace pour chercher le point. Et pour que tous les enfants puissent craindre Boussadia on rajoutait qu’il s’appelait « sarak bou kloub », le voleur de cœur, qui enlevait les enfants pour leur prendre leurs cœurs.

On a tous tremblé, eu peur de Boussadia qui ne passait pas inaperçu compte tenu du bruit que toute la ferraille qui pendouillait de ses haillons sonnait fort.

jeudi 7 mai 2009

LAG BAOMER REBBI CHAMO3ÖUN BAR YOHAI



FETE DE RABBI SCHIMON BAR YOHAÏ

ORIGINES DE LA FETE

Tout comme les trois semaines, Le Omer était à l'origine une période joyeuse, entre la fête de la sortie d'Égypte et celle du don de la Torah.
Néanmoins, le Talmud (Yevamot 62:2) nous enseigne qu'au temps de Rabbi Akiva, 24.000 de ses étudiants moururent d'une mystérieuse plaie d'origine divine, "parce qu'ils ne se respectaient pas mutuellement". Les Juifs célèbrent Lag Ba’omer comme le jour où cessa cette plaie.
Certains, dont le Rav Adin Steinsalz (Source :"Personnages du Talmud"), estiment que cette plaie était l'armée romaine, et que la première génération d'étudiants de Rabbi Akiva mourut lors de la révolte de Bar Kokhba, dans laquelle Rabbi Akiva fut une figure majeure. Peut-être estima-t-il que la défaite de Bar Kokhba trouve sa source dans l'incoordination de ses étudiants, "parce qu'ils ne se respectaient pas mutuellement".
Cette interprétation rendrait également compte de la coutume d'allumer des feux de joie le soir de Lag Ba’omer, car ces feux étaient utilisés, à l'époque des faits évoqués, comme signaux en temps de guerre.
Ce jour est également l'anniversaire de la mort (Yahrzeit (ashkénaze) ou Hilloula (sépharade)) de Rabbi Shimon bar Yohaï, le grand Sage auquel on attribue le Zohar, ou au moins son noyau.
Rabbi Shimon bar Yohaï faisant partie de la seconde génération d'élèves de Rabbi Akiva, et s'étant révolté comme lui contre le pouvoir romain au point de devoir vivre dans la clandestinité, il n'est pas impossible que ces deux événements soient liés, qu'on célèbre la fin de la disparition de Sages avec un Sage qui a perduré, et même prospéré.

DENOMINATION DE LA FETE

"Lag" (33) n'est pas vraiment un mot : aux temps où les chiffres arabes n'avaient pas encore été adoptés, l'alphabet hébreu était alphanumérique, c'est-à-dire que les lettres avaient une valeur numérique (ce système est à la base de la guematria, et donc encore utilisé de nos jours par ceux qui la pratiquent).
Dans ce système alphanumérique, 33 est transcrit : lamed guimel, Lamed ayant pour valeur 30, guimel 3.

Lag Ba'Omer signifie "le 33ème jour du décompte du "Omer", lequel commence le second soir de Pessa'h en Diaspora, le premier en Israël et s'achève au cinquantième jour à Shavouot.

Ce jour-là, le 33ème jour du compte du Omer, entre Pessa'h et Chavouot, s'est arrêtée l'épidémie mortelle qui a tué 24000 élèves de Rabbi Akiva. Et il a pu reprendre l'enseignement de la Torah à ses grands disciples : Rabbi Méïr, Rabbi Shimeon, Rabbi Yéhouda, Rabbi Yossi et Rabbi Elaazar.

Au Moyen Age, Lag Ba'Omer devint une commémoration particulière pour les étudiants rabbiniques, au point d'être appelé "le festival des Disciples des Sages". Il était de coutume de se réjouir en ce jour au moyen de divertissements variés.

Le 33e jour de l'Omér est la fête dite de Lag BaOmér où on célèbre en grande joie la hiloula (jour du décès comme entrée dans la gloire d'En-Haut) de Rabbi Chimeone bar Yo'haï. C'est un peu le modèle de l'union que le peuple juif et chacun devraient avoir avec le Créateur. C'est aussi le jour où il reçut la sémikha ou titre de rabbin.

Les fêtes et mariages reprennent.
On allume beaucoup de lumières, bougies, et on fait des feux de joie (médourote), surtout à Jérusalem. On trouve ce mot dans le livre d'Ezéchiel 24, 9-10. Jeter de l'huile sur le feu, au sens figuré, se dit aussi en hébreu léhossif chémén la médoura.

Ce jour-là, des milliers de juifs vont en famille à Mérone sur la tombe de Ribbi Shimon Bar Yohaï. Des autobus les y amènent de tout le pays. Ils y prient pour tout Israël, pour que la miséricorde (Ra'hamim) se répande sur tout Israël.

Ils apprennent aux enfants le sens des péotes, cette mèche de cheveux qui descend des deux côtés de la tête au dessus des oreilles.

RABBI SCHIMON BAR YOHAï

Le tombeau de Rabbi Shimon bar Yochai à Meron pendant Lag Ba'Omer

Shimon Bar Yochaï est un rabbin ayant vécu en Galilée (Palestine) à l'époque romaine et après la destruction du second Temple de Jérusalem, ce qui situe sa vie entre la fin du Ier siècle et le IIe siècle de l'ère chrétienne.
Il serait mort à Méron, probablement un 18 Iyar du calendrier hébreu.

Shimon Bar Yohaï étudiait à Yabné près de Bnei Brak, dans une yeshiva fondée par Rabbi Akiva Ben Joseph dont il était devenu l'un des plus éminents disciples.

Rabbi Akiva refusa pourtant de lui attribuer le titre de rabbi à cause de son caractère, et Shimon Bar Yohaï ne devint rabbi qu'après le décès de son Maître, lorsque celui-ci fut exécuté par Hadrien pour son soutien à la révolte de Bar-Kokheba.

La tradition orale juive rapporte que, suite à des propos critiquant le gouverneur romain, il fut, lui aussi, condamné à mort et dut s'exiler dans une grotte pendant 13 ans au cours desquelles il aurait rédigé le Zohar, ouvrage fondamental de la Kabbale et de la mystique juive.
Aujourd'hui, il est célébré comme un « Saint » par certaines communautés juives séfarades mais aussi par les cabbalistes. Chaque année, un pélerinage est organisé à Méron (à l'occasion de Lag BaOmer) sur l'emplacement de son tombeau.

Selon la tradition, de nombreux miracles sont attribués à Shimon Bar Yohaï. Notamment, aux environs de l'an 138, il aurait été envoyé à Rome comme ambassadeur, pour demander à l'Empereur Antonin le Pieux d'abolir les décrets interdisant l'observance du culte juif. Il aurait ainsi obtenu l'accord de l'empereur en exorcisant sa fille d'un démon.

Des sentiments anti-romains animaient également Bar Yohaï et le conduisirent à fuir vers 161 (selon Heinrich Graetz) pour s'enfermer dans une caverne, puis se cacher à Tibériade et dans d'autres villes de Galilée. L'ange Métatron lui y aurait révélé la fin du Monde et la venue du Messie.
Shimon Bar Yochaï étudiait entouré de ces disciples, les rabbis Eléazar (son fils), Juda, Jossé Hiya et Isaac.

Son enseignement s'orientait autour de deux préceptes fondamentaux
• la prière désinteressée
• la supériorité de l'étude
l'une menant à l'autre et réciproquement...

Shimon Bar Yochaï n'a laissé aucune œuvre certaine. Mais on lui attribue notamment :
• Sifré, un commentaire des Nombres et du Deutéronome,
• Mechilta, commentaire de l'Exode,
• Le Zohar dont il aurait dicté le texte à ses disciples (certains mouvements contestent cette paternité du Zohar en l'attribuant à Moïse de Léon).

Sources : Site Modia du Rav Rahamim DUFOUR et Wikipédia

dimanche 8 mars 2009

8 MARS FEMMES DU MONDE ENTIER BONNE FETE

à l'occasion de la fête internationale de la femme, je vous souhaite à toutes une excellente journée et soirée, avec plein de bonnes résolutions,
et, à l'aube de deux fêtes importantes
pour les enfants d'Abraham:

Mouled el chérif pour les musulmans,
Pourim pour les juifs,
tous mes souhaits de bonheur, fraternité, joies nouvelles et sérénité.

Je voudrais vous dédier la vidéo d'un spectacle auquel j'ai assisté et qui m'a ému profondément, une soirée organisée par notre ami René Trabelsi (agence Royal First Travel) à l'occasion du pélerinage à la Ghriba en mai 2008.
Avec des voeux pour que des scènes de ce type se reproduisent encore et encore partout dans le monde , et que les hommes comprennent qu'ils sont frères et que pour vivre en paix il faut s'accepter, s'aimer et s'enrichir de la différence.
Chalom, Sellem, paix.
Ecoutez et méditez!

http://www.dailymotion.com/video/x6250r_concert-a-jerba-avec-youval-taieb_music


le Duo de la paix: Youval Taïeb et Houssine el Afrit


lundi 26 mai 2008

ZIARA MAKBOULA, 6000 PELERINS AU RENDEZ VOUS DE LA GHRIBA DE DJERBA









Kmara am akhor. Ce fut une superbe fête de Rebbi Chimon, Lag Ba Omer.
Liesse, ferveur, douceur et joies étaient au rendez vous.
Quelques photos

jeudi 8 mai 2008

HILLOULA A DJERBA EN TUNISIE

Le jour de la HILLOULA marque la date anniversaire du décès du TSADIK( saint homme). La mort d'un TSADIK, en le rapprochant de DIEU, ne peut être considérée comme jour de deuil et la HILLOULA, qui signifie en Araméen repas - fête, est autant un pèlerinage qu'une fête.
LE TSADIK doit être visité au moins une fois par an, le jour de sa HILLOULA. Le rituel de la HILLOULA et du pèlerinage s’accompagne de repas copieux, de grands feux de joie, de danses et de chants.
HILLOULA DE RABBI MEÏR BAAL HANES : Célébrée le 14 'iyar. C'est également la date de célébration de Pessah Chéni (date où les juifs qui auraient été empêchés pour des raisons majeures d'observer la Pâque à partir du 14 Nissan sont autorisés à célébrer le sacrifice pascal un mois plus tard -Encyclopédie de la mystique juive-
Pour la HILLOULA de RABBI MEÏR BAAL HANESS (le faiseur de miracle), un office solennel précède le pèlerinage à Tibériade, sur les vestiges de sa tombe. Pendant 2 jours, la foule des fidèles afflue. Tous les passages du Talmud comportant son nom sont psalmodiés, des chants, des pyoutim sont entonnés en son honneur et de nombreux cierges et des veilleuses à l'huile sont allumés. Des "qusida" ou poèmes judéo arabes chantés racontent la vie extraordinaire du Tsadik, une vie remplie d'évènements fabuleux et d'interventions miraculeuses.
HILLOULA de RABBI SHIMON BAR YOHAÏ, célébrée le 18 'iyar à l'endroit où il est supposé être enterré ainsi que son fils ELEAZAR, à Méron au nord d’Israël. . C'est à ce grand TSADIK que la tradition attribue la composition du ZOHAR " LIVRE LE LA SPLENDEUR", ouvrage majeur de la mystique juive, texte fondamental de la Kabbale.. "... Ecrit à la 3ème personne, Le ZOHAR présente, dans le cadre le la Palestine, des discussions entre Rabbi SHIMON BAR YOHAÏ, son fils ELEAZAR et des disciples, "HEVRAYA " sur des sujets d'ordre humain ou divin...". (Dictionnaire encyclopédique du judaïsme) .Des centaines de personnes venues du monde entier participent à ces festivités; d’immenses feux de joie sont allumés et brûlent toute la nuit. Celles qui n'ont pu se rendre à Méron célèbrent chez eux ou en groupe cette grande HILLOULA.
D'ailleurs, pour les saints dont la date de décès n'était pas connue - et c'était la majorité - la HILLOULA était célébrée le jour anniversaire du décès du plus grand des Saints du Judaïsme, RABBI SHIMON BAR YOHAÏ, le 33ème jour du décompte du Omer, LAG BA OMER. Rabbi Shimon Bar Yochai dont on fête la hiloula (date anniversaire de sa mort) en ce trente-troisième jour du Omer est né environ 50 ans après la destruction du Temple,

Tana, Rabbi Shimon fait partie de la seconde génération qui a vécu après la destruction du second temple, et qui fut une période de souffrance pour le peuple juif qui subissait à cette époque les lois et décrets de l’Empire romain.Par ses mérites la génération tout entière était protégée.Rabbi Shimon était l’élève de Rabbi Akiva. Celui-ci l’aimait tant qu’il l’appelait "mon fils". Tout de suite après son mariage, après les 7 jours de Shéva Berakhot Rabbi Shimon se rendit à Bnei Brak pour étudier avec rabbi Akiva, il y resta 13 ans sans retourner une seule fois chez lui. La peste à cause de laquelle ont succombés près de 24.000 étudiants de l’école Talmudique de Rabbi Akiba doit se comprendre aussi dans son contexte historique. Nous devons nous souvenir que Bar Korba avait mené une vaillante révolte contre les Romains en 132 de l’ère commune.seuls 5 élèves ne périrent pas, rabbi Shimon fut l’un d’eux.

Rabbi Shimon prit ainsi l’enseignement de Rabbi Akiva et le transmit ensuite à ses propres élèves. Il fut le chef spirituel du groupe qu’on appelle dans le Zohar, ’Havraya Kadicha" (Société Sacrée) dont les membres étaient:Rabbi Chiméon Bar Yohaï, en­nemi déclaré des Romains, il dut se cacher pendant de nombreuses années dans une grotte pour leur échapper. Selon la tradition, lui et son fils Eliezer ont passé douze ans dans une caverne, où un puits miraculeux et un caroubier les ont soutenus

C’est là qu’avec son fils, Rabbi Eléazar, il composa le Zo­har, ouvrage de base de la mystique juive, mis ensuite par écrit par l’un de ses dis­ciples, Rabbi Abba. Le Rash­bi fut aussi un "grand" de la Michna, où ses opinions sont citées plus de 300 fois.

Selon la légende, le jour de sa mort, le lit où reposait le tsadik s’éleva dans les airs et prit la direction de la grotte de Meron où il fut alors enterré..

À la fin du XVIe siècle, Rav Abraham Galanti, un des hakhamim de Tsfat qui possédait une fortune personnelle, fit construi­re la première structure au-dessus de la grotte. Cette structure de taille modeste entourait l’endroit où le Ra­shbi était enterré. Une petite pièce avec un escalier menant à la tombe de Rabbi Eléazar et une cour pavée furent aussi édifiées en même temps

Lag Baomer le 23 Mai 2008 : Jour anniversaire du décès “hilloula” de Rabbi SHIMON BAR YOHAI

Comme tous les ans, une grande hilloula est organisée à Djerba autour du mausolée de la GHRIBA. Des pèlerins du monde entier se rendent pour fêter cet évènement , prier, faire des dons et des vœux dans la grotte comme dans la plus vieille synagogue du monde. Où joies, yous yous, explosent avec toutes les lumières qui éclairent ces jours de liesse.

Le Président de la communauté de la Ghriba, Monsieur TRABELSI et son fils René reçoivent les pèlerins avec chaleur et bonheur et invitent les instances officielles tunisiennes qui se font une joie de transmettre des messages de paix et sérénité à tous les visiteurs.

BONNE FÊTE DE LA HILLOULA

BON PELERINAGE A LA GHRIBA

ZIARETKOM MAKBOULA

Quand on était jeune à Nabeul la coutume, les traditions voulaient que soient confectionné une sorte de chandelier auquel on attachait des bougies et autour duquel on rajoutait des fleurs, oeillets, roses et géranium rosa(otria), et nous défilions chacun pour allumer les bougies à a synagogue et ramener l'objet à la maison où nos mères avaient préparé une table avec les fèves au cumin, les artichauts bouillis, les makouds divers, le fenouil en salade etc...Toutes ces couleurs toutes ces odeurs sont présentes, malgré l'absence.

Les traditions se perdent mais demeurent dans nos mémoires. JE SUIS HEUREUSE que Monsieur Trabelsi ait initié et préservé ce pèlerinage qui rassemble un bon nombre de coreligionnaires qui reviennent au pays à l'occasion, se ressourcer et passer un séjour qui allie l'utile, le sacré à l'agréable.Les autorité tunisiennes soucieuses de la qualité du séjour de tous les visiteurs, font en sorte que tout soit au point pour les accueillir en toute sérénité et quiétude.

Prions D... afin qu'il prête longue vie au Président Zine El Abidine BEN ALI qui grâce à sa politique d'ouverture et de fraternité perpétue cette hilloula et ce pèlerinage pour les enfants de la Tunisie et les autres afin que l'image de la Tunisie avant gardiste , ouverte, tolérante rayonne toujours et encore.