Il fait froid, maussade, on a envie de rester au chaud, mais quand on rentreaprès une journée de labeur, un bon bouillon chaud est le bienvenu.
En Tunisie ce consommé était le repas de tous les malades, car on le dit léger et chaud, c’est aussi ce qu’on avale après un jeune (kippour..) ;
On le préparait avec une poule, mais à présent c’est plus rapide avec un poulet.
Prendre le poulet le débarrasser des plumes qui restent en le passant sur une flamme et ne les ôtant. Laver le poulet le découper. En général on ne met que le dos, les ailes et le cou (le reste du poulet se prépare rôti ).
Dans une marmite, mettre un peu d’huile, une pincée de sel, de poivre, une branche de céleri, une feuille de laurier, deux branches de coriandre(cosbor), le poulet, une pincée de curcuma et si possible, une cuillerée de marak of.
Recouvrir d’eauet laisser cuire lentement. Ecumer s’il le faut.
En général, on rajoute des vermicelles (lissene asfour ou cheveux d’ange).
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